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Alex, spécialiste "cuisine"

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Les restos.

 

Les restaurants cités ici ont été testés par un ou plusieurs membres de l'équipe.

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SPECIALITES NICOISES ET SPECIALITES ITALIENNES

 

Cave de le Tour (vieux-Nice)

Depuis 1947, la cave de la Tour est une institution. Côté boisson, c'est toute la Provence viticole et traditionnelle qui s'étale sur les linéaires. Côté assiette, c'est Nice, Nice et encore et toujours Nice : le traditionel stockfish, les gnocchis, la délicieuse daube etc...

Pour nous, ce sera les tripes de boeuf à la niçoise... cuisinées à la perfection par Jean-Philippe.

3 rue de la Tour, du mardi au samedi 7h à 20h, dimanche 7h à 12h30.

 

Lou Balico (centre-ville)

Enfin, un vrai et bon restaurant de spécialités niçoises. Nous avons déjeuné en semaine entre collègues et n'avons pas été déçus. L'accueil, tout d'abord, est chaleureux et convivial, on se sent comme à la maison. Côté assiette, de la salade niçoise traditionnelle aux soupions à la niçoise, tout est fait maison avec des produits frais : et ça se sent. En dessert, une onctueuse mousse au chocolat, encore maison, est venue clore cette belle parenthèse à deux pas du MAMAC et de la Promenade du Paillon.

20 avenue Saint-Jean-Baptiste


Au rendez-vous des amis (collines Nord)

Une institution niçoise sur les hauteurs de la ville. Quelle bonne surprise de découvrir ce cadre travaillé, bien qu'un peu désuet pour certains, cette salle à taille humaine et son service de grande qualité sans être omniprésent. "Au rendez-vous des amis", est l'un de ces restaurants où l'on ne sort pas de table avant 16h ! Dans l'assiette, des propositions traditionnelles (comme les raviolis niçois) aux plus originales mais toujours cuisinées avec talents. Côté adition, on se situe dans un restaurant classique supérieur, malgré les références sur la porte d'entrée qui pourraient nous faire frémir (Petit Futé, Gault et Millau, Michelin, Tables de France... impressionnant !).

176 avenue de Rimiez

A Buteghinna (Vieux-Nice)

La cuisine niçoise comme on l'aime, généreuse et traditionnelle. Sans chichi ni fioriture. Ici, on va à l'essentiel, emmené par Sophie, Evelyne et Marcelle sur les chemins escarpés mais délicieux de notre cuisine familiale régionale.

L'un des rares restaurants en ville où l'on peut encore déguster la poche de veau farcie et les capouns.

11 rue du Marché

 

Le Gèsu (Vieux-Nice)

Ah, le Vieux-Nice... Ses odeurs, ses ruelles étroites, ses petits restos qui sentent bons la cuisine Nissart. Pour nous, si on doit faire découvrir quelqu'unes de nos spécialités locales à des amis dans un resto, c'est direction le Gésu. Pourquoi ? Tout d'abord, tout ici vibre l'âme de Nice (situé au coeur de la vieille-ville, sur la place de la splendide église Saint-Jacques), l'accent de chez nous est partout, dans la bouche de patron et de son équipe. Ensuite, parce que les délicieuses recettes niçoises y sont servies et faites maison (les raviolis daube, la ratatouille, l'incontournable salade niçoise...). Enfin, parce que l'addition ne vous fera pas mal à l'estomac.
Bref, une belle adresse comme on les aime mais attention, les bonnes adresses se passent et le Gésu en est une : à l'heure de pointe, il faudra s'armer de patience pour décrocher une table.
1 rue du Gésu

Tchitchou (centre-ville)

Nice, c'est 72 kilomètres carrés. Donc, non, les restaurants niçois ne se concentrent pas exclusivement dans le Vieux-Nice et nous en trouvons d'excellents sur les collines (je pense à Chez Cane à Saint-Antoine ou au Rendez-vous des amis à l'aire Saint-Michel) ou dans le centre. Le Tchitchou est justement à 5 minutes de l'avenue Jean Medecin sur l'avenue Clemenceau, à moins de 50 mètres de ce qui fut la mythique salle de spectacle l'Escurial (construit en 1937 et, depuis, reconverti en supermarché. Tout se perd ma bonne dame).
Bref, le Tchitchou n'est autre que le nouvel établissement de l'ancien chef du réputé L'Escalinada, institution dans le Vieux-Nice. Dans sa petite salle d'une quarantaine de couverts, vous gouterez de succulents poivrons à l'huile et des supions frits ou cuisinés à la niçoise, vous fondrez pour les merda du can au pistou (des sortes de gnocchis de pomme de terre et de blettes) ou pour l'incontournable porchetta maison (une tranche de cochon de lait farci). Réservations nécessaires pour diner.
29 rue Georges Clemenceau

La Favola

Quelques pâtes, des spécialités italiennes. Si tel est votre ambition, alors prenez la direction de La Favola au début du cours Saleya. Le service y sera rapide sans être expéditif, la note ne sera ni salée ni étouffante. Vous pourrez y déguster des spécialités gratinées au four ou de délicieuses pâtes simplement relevées de sauce tomate, basilic et mozzarella (c'est notre choix). Pour baigner dans l'ambiance unique du Vieux-Nice, optez pour une table en extérieur durant les beaux jours et, à  Nice, c'est plus de 300 fois par an ;-)

13 cours Saleya, Nice

 

CUISINE FRANCAISE

Le Frog (proche vieux-Nice)

Pas évident à trouver si on ne connait pas Nice. J'ai connu le Frog il y a quelques années, alors qu'il proposait une ambiance sud américaine. Aujourd'hui, j'ai pris plaisir à y découvrir une nouvelle ambiance, cosie et moderne, avec un musicien inspiré en ce vendredi soir. Côté assiette, de belles propositions mais un résultat en demi-teinte : excellent foie gras poellé mais un magret de canard au miel et thym qui aurait pu être plus gourmand. Néanmoins, je retournerais volontiers au Frog pour la déco, l'ambiance et le service très sympa.

3 rue Milton Robbins

C'Factory (musée d'art moderne)

Nous avons diné à 4 un samedi soir. Situé à l'emplacement de l'ancien Grand café des Arts au MAMAC, une institution, le C'Factory relève le défi de nous le faire oublier. Et haut la main ! Echaudés par certains commentaires, nous avons franchi la porte avec un gros doute : avons-nous bien fait ? Et bien oui : un cadre cosy et moderne, un service attentionné et de qualité. Côté assiette, pas de déception non plus : les plats étaient bien cuisinés et savoureux, et les cuissons respectés. Seul le dessert a légèrement déçu avec un assortiment un peu industriel mais qui ne gâche pas la belle soirée que nous avons passé. A refaire donc...

Place Yves Klein

 

Le 3ème, Hyatt Regency Palais de la méditerranée (promenade des Anglais)

Nous n'avons pas pour habitude de déjeuner ou dîner dans les restaurants d'hôtels, peut-être que nous avons des a priori. Des a priori qui ont volé en éclat après notre dîner au 3ème, le resto lounge et chic du palais de la Méditerranée. Le service d'une grande qualité avec un personnel disponible mais pas envahissant, c'est tout ce que nous aimons. À cela, un pointe de décoration rouge avec des boiseries et une musique à quelques notes de Gothan Project ou de Saint-Germain, et nous n'attendons plus que des assiettes savoureuses et bien garnies. Sur ce dernier point, nous n'avons pas non plus été déçu, de l'agneau délicieux, du fois gras à température idéale... Un succès !

 

L'Autre instant (centre-ville)

Nous avons (enfin) découvert l'Autre Instant, depuis les mois que nous en parlions. Et nous avons été enchantés. Le service était impecable, le cadre sobre, simple, épuré mais élégant à la fois, et la cuisine à tomber. Le tout accompagné d'un vin délicieux et nous voilà parti pour retourner, dès que possible, passer une bonne soirée entre amis à l'Autre Instant.

Rue Dalpozzo

 

Le Vingt4 (centre-ville)

Découvrir un restaurant, c'est un peu comme rencontrer quelqu'un. Le premier contact est peut-être le plus important. Au Vingt4, le premier coup d'œil dans le resto donne le ton : Une salle décorée avec goût, des sourires, des suggestions alléchantes. Puis, confortablement installés, nous avons le droit à la visite du maitre des lieux. Heureux de vous accueillir, il prendra le temps de vous parler de sa passion des bonnes choses, des vins sélectionnés par ses soins ou encore de la cuisine qui ne connait ni micro-ondes, ni congélateur.
Les présentations faites, les dégustations peuvent commencer. Quelques tapas pour se mettre en jambes. Fromage, charcuterie espagnole, gaspacho de patate douce. S'en suivent des travers de porc au goût sans pareil, un hamburger incroyable ou encore un gratin dauphinois crémeux à souhait.
Le tout accompagné d’un côte-de-Provence rosé aux notes d’agrumes. Superbe !
Comment ne pas revenir au Vingt4, ce bar à vin qui a tout compris : Un cadre raffiné et des tarifs (très) raisonnables au service d'une cuisine originale, gourmande et entouré d'un accueil chaleureux.
A très bientôt, assurément !

24 rue Alphonse Karr

 

La Ferme Saleya (Vieux-Nice)

Plusieurs bonnes surprises et deux petites déceptions ont accompagné notre découverte de la Ferme Saleya. Côté bons points, le cadre, évidemment, de la pierre au sol et au mur, des poutres apparentes, des tons sobres dans une rue à l'écart du très remuant cours Saleya. Autre point positif, l'essentiel, le diner fut divin : une carte avec peu de propositions certes (ce qui est souvent gage de qualité) mais des produits cuisinés avec soins, des saveurs prononcées. Tout était parfait, du risotto au jambon de pays aux noix de Saint-Jacques, en passant par le foie gras et le magret de canard entier au miel, le tout arrosé d'un côte-de-Provence. Le dessert n'a pas dénoté avec la réussite totale du repas. Si nous avions deux bémols à évoquer, nous parlerions du service qui ne fut pas le plus professionnel qui puisse être mais, surtout, de la chaleur étouffante de cette petite salle. Bien qu'une petite clim et que deux modestes ventilos tournaient en permanence, nous ne tenions plus et avons apprécié quitter ce resto ! Dommage, tant nous l'avons apprécié. Nous y retournerons... mais hors saison.

8 rue Gilles Gilly

 

CUISINE DU MONDE

Hot Pot (centre-ville)

Un bon resto, c'est un tout : un service de qualité, un cadre chaleureux et un délicieux repas. Le Hot Pot, c'est tout ça à la fois. Accueillis avec le sourire dans ce charmant resto du centre-ville, nous sommes immédiatement surpris par la gentillesse de l'équipe et par la sérénité des lieux. Conduis à notre table, nous nous laissons séduire par le "menu conseillé" à 18 euros par personne comprenant une fondu chinoise et un barbecue coréen. Un pur délice : des produits frais et des saveurs inédites autour d'un bouillon riche de goût, pour la fondue, et des viandes délicieuses pour le barbecue. Avec tout cela, un cocktail maison, un pichet de vin (6 euros le 1/2l) et deux desserts avant un petit saké offert. Une addition plus que correcte et voilà, un resto extra où nous ne manquerons pas de retourner !

6 rue d'Alsace Lorraine

 

Indian Lounge (vieux-Nice)

Dépaysement total de la table au plafond en passant par les murs tapissés de photos, l'Indian Lounge est ce qu'on attend d'un resto indien dès que l'on franchi le pas de la porte.
L'accueil est cordiale à l'exception de la serveuse qui n'a pas desseré les dents de la soirée, dommage.
Cocktails frais, originaux et surtout pas chers (5,50€) servis avec des petits chips artisanales et des sauces (une épicée, une sucrée et une salée).
Nous avons pris chacun un plateau Nirvana Goa à 25€ avec notamment du poulet grillé, des lentilles, des légumes, une gambas sauce curry, du boeuf, de l'agneau le tout accompagné de riz basmati très parfumé et d'un naan nature. C'est servi bien chaud, c'est bon, c'est varié, c'est... c'est réussi en un mot.
En résumé, une adresse à découvrir autant par la qualité des plats que par le cadre, malgré quelques bémols.

Gousto (port)

C'est l'envie de faire une nouvelle rencontre qui nous a conduit au Gousto.

Un irrépressible besoin de tester un restaurant qui se vante d'allier les saveurs péruviennes et celles, plus traditionnelles, de notre veille France. Le pari est plutôt réussi avec une cuisine créative qui nous emporte sur les sentiers pentus de Lima. Dans cette petite salle d'une vingtaine de couverts au service discret mais efficace, nous avons tout d'abord épanché notre curiosité gustative par un cocktail traditionnel au citron vert avant de glisser dans une sélection de petites entrées à partager où le ceviche trônait en maitre.

Puis, en guise de plats, nous avons dégusté un délicieux poulpe grillé aux piments des Andes et des noix de saint-jacques poêlées avant de conclure par une crème légère typique du Pérou.

Un diner fin, rempli de saveurs et de parfums mais les quantités pourront laisser un goût amer au moment de l'addition plutôt élevée.

50 Boulevard Stalingrad
 

 

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